Grand’Place, la Vieille Bourse (1869)

[before-after width= »1024px » offset= »0.5″ overlay_opacity= »0.2″ label_one= »1869″ label_two= »2015″]AlbE02___19-1 FINALgrand place vieille bourse[/before-after]Alphonse Le Blondel, Lille : La bourse vue avant l’établissement des tramways. (1869). ©Bibliothèque municipale de Lille. Cote : carton 8, 6
[read more= »En savoir plus » less= »Cacher »] La Vieille Bourse, construite entre 1652 et 1653 par Julien Destrée, a fait l’objet d’une restauration minutieuse. Son architecture est typique de l’époque, lorsque Lille était encore sous domination espagnole. Sur cette photographie d’Alphonse Le Blondel en 1869 on distingue encore l’ancien Théâtre municipal (tout à droite de l’image), lequel, ravagé par les flammes en 1903, a été rasé et remplacé par l’Opéra construit entre 1907 et 1913. L’imposant beffroi de la Chambre de Commerce et d’Industrie en arrière plan n’est pas visible, et pour cause, la CCI fut construite entre 1910 et 1921. [/read]


Cour de la Vieille Bourse (1888)
[before-after width= »512px » viewer_position= »left » offset= »0.5″ overlay_opacity= »0.2″ label_one= »1888″ label_two= »2015″]44184____20-1 FINALvieille bourse interieur[/before-after] Bourse de Lille: Vue des façades vers cour. (1888). ©Bibliothèque Municipale de Lille. Cote : 44184, planche 20
[read more= »En savoir plus » less= »Cacher »] Les bouquinistes présentent régulièrement leurs étals fournis dans la cour de la Vieille Bourse, on y danse aussi le tango en soirée avec l’association « sous les marronniers ». En 1888 néanmoins, l’ambiance y est plus solennelle avec la fière statue de Napoléon 1er, œuvre d’Henri Lemaire posée en 1853, transférée depuis aux Palais des Beaux-Arts. Sur la photographie récente on aperçoit  le beffroi de la Chambre de Commerce et d’Industrie, ou « nouvelle bourse ». [/read]


Grand’Place, Fêtes de Notre Dame de la Treille (1854)
[before-after width= »600px » viewer_position= »left » offset= »0.5″ overlay_opacity= »0.2″ label_one= »1854″ label_two= »2015″]lef0012pag083pho088(1)-1fete de la treille[/before-after] Alphonse Le Blondel, Lille: La Grande Place en 1854: Fêtes de Notre Dame de la Treille. (1854). ©Bibliothèque Municipale de Lille. Cote : Fonds Lefebvre 12, 83
[read more= »En savoir plus » less= »Cacher »] Bien qu’il fut difficile de reproduire le cadrage d’Alphonse Le Blondel, j’ai voulu travailler à partir de cette magnifique image, une des plus vieille du fonds de la Bibliothèque Municipale (plus de 160 ans). La procession annuelle en l’honneur de Notre dame de la Treille est une tradition lilloise depuis 1269. Nous sommes ici au début du Second Empire et les fêtes religieuses sont à nouveau autorisées après avoir été proscrites lors de la Révolution. Beaucoup de choses ont changé depuis, notamment l’apparition ici à gauche du bâtiment de la Voix du Nord (anciennement Grand Écho du Nord) construit en 1936, et au fond la disparition de l’imposant hôtel de ville et de son beffroi, détruits par un incendie en 1916. [/read]


Façades, Place du Théâtre (1910)
[before-after width= »1024px » offset= »0.5″ overlay_opacity= »0.2″ label_one= »1910″ label_two= »2015″]po069_001-2-1 FINALVieille bourse façade 1[/before-after] Émile Dubuisson, Lille : Place du Théâtre. (1910). ©Bibliothèque municipale de Lille. Cote : portefeuille 69, 1
[read more= »En savoir plus » less= »Cacher »] Autrement appelées Rang de Beauregard, ces façades ont été érigées entre 1685 et 1687 par Simon Vollant sur les plans de Julien Destrée et basés sur le modèle de la Vieille Bourse qu’elles jouxtent. Minutieusement restaurés, ces bâtiments donnant sur l’actuelle Place du Théâtre montrent des vitrines moins fournies qu’en 1910. Aujourd’hui, de vastes terrasses ont été installées sur la place pour accueillir les clients des restaurants et des cafés. Incontournables des visites touristiques de Lille, une dizaine de boulets de canons sont plantés dans la façade, ils y ont été figés par les propriétaires pour commémorer la résistance des habitants lors du siège de Lille de 1792 par les forces autrichiennes et prussiennes. [/read]


Entrée du Marché Saint-Nicolas (1870/1879)
[before-after width= »1024px » offset= »0.5″ overlay_opacity= »0.2″ label_one= »ca. 1870″ label_two= »2015″]AlbE03___30-1 FINALmarché saint nicolas test[/before-after] Alphonse Le Blondel, Lille : Marché Saint-Nicolas. (1870-1878). ©Bibliothèque municipale de Lille. Cote : alb E3, 30
[read more= »En savoir plus » less= »Cacher »] Aménagé en 1826 derrière la Grand’Garde, le marché Saint-Nicolas était réservé aux bouchers de la ville. Fermé depuis le début du XXème siècle, le marché est aujourd’hui occupé par le Théâtre du Nord depuis 1989. Depuis la Rue Saint-Nicolas, seule la structure métallique nous rappelle l’origine des lieux, c’est aujourd’hui l’espace de déchargement du matériel pour le Théâtre et l’entrée des artistes. [/read]